Décryptage des Infos

Un alignement sur l’agenda WEF 2030
Le projet d’euro numérique, poussé par la BCE et annoncé pour un possible lancement en 2028, s’inscrit dans les objectifs du Forum économique mondial (WEF) pour 2030. Cet agenda promeut une transformation numérique globale, où les monnaies numériques centralisées deviennent un levier pour uniformiser les économies mondiales, souvent au détriment des spécificités nationales, sous prétexte de durabilité et de modernisation.

L’euro numérique, fossoyeur des souverainetés nationales
Avec l’euro numérique, chaque transaction sera traçable et programmable, transférant un pouvoir immense à la BCE et, par extension, à des instances comme l’UE. Les États perdraient leur capacité à gérer leur politique monétaire indépendamment, car la centralisation de la monnaie numérique éroderait leur souveraineté. Les citoyens, eux, seraient directement dépendants d’un système supranational, sans recours face à des décisions arbitraires.

Un contrôle renforcé des masses
L’euro numérique permettra une surveillance sans précédent des comportements financiers. Chaque achat, chaque transfert pourra être monitoré, offrant aux autorités un outil de contrôle des masses. La BCE pourrait, par exemple, geler des comptes ou limiter des dépenses en cas de désobéissance politique, un mécanisme qui rappelle les dérives autoritaires observées dans des pays ayant adopté des monnaies numériques centralisées.

Des restrictions inspirées du crédit social
Le modèle de l’euro numérique ouvre la voie à des restrictions de type crédit social, comme en Chine. Les dépenses pourraient être conditionnées à des critères définis par l’UE, tels que des quotas carbone ou des comportements jugés « acceptables ». Si un citoyen dépasse ses limites ou critique le système, ses fonds pourraient être bloqués, transformant l’argent en un outil de coercition et de soumission.