🇪🇺 Union européenne – 🇫🇷 France : Des chiffres bidons !? La France, numéro 1 du pipeau avec notre Mozart de la finance ! L’alimentation et les services s’envolent de 40 à 80 %, pendant que les technocrates de l’UE annoncent une inflation moyenne officielle à 2,5 % ! Une valse de stats truquées pour cacher la vérité, les citoyens paient cher cette manipulation éhontée !

Décryptage des Infos
🔸 Comment l’inflation est calculée et pourquoi de cette manière
L’inflation repose sur l’Indice des Prix à la Consommation (IPC), qui suit un panier de biens et services dits représentatifs des dépenses des ménages, collectés mensuellement par l’INSEE en France, et harmonisé via l’IPCH pour l’Europe. Mais ce panier exclut des coûts majeurs comme l’immobilier ou les actifs financiers, et inclut des absurdités : le prix des plumes pour chapeaux ou des disques vinyles, peu utilisés, faussant la réalité des dépenses courantes pour mieux servir les politiques monétaires.🔸 La politique monétaire et les mensonges d’État financier
Les banques centrales, comme la BCE, fixent un objectif d’inflation à 2 % pour stabiliser l’économie, ajustant les taux directeurs pour influencer la demande. Cependant, les chiffres officiels peuvent masquer la réalité : une inflation sous-estimée permet de minimiser l’impact perçu sur le pouvoir d’achat, tandis que l’État, endetté, bénéficie d’une érosion de sa dette réelle. Cette manipulation des statistiques sert souvent à maintenir une illusion de contrôle économique.🔸 La vraie inflation pour le citoyen lambda, c’est quoi ?
Pour le citoyen moyen, l’inflation réelle dépasse souvent les chiffres officiels. Les hausses de 40 à 80 % sur l’alimentation et les services pèsent lourdement sur le budget des ménages modestes, bien plus que l’inflation moyenne de 2,5 % annoncée. Les coûts du logement, des transports ou des produits essentiels, souvent sous-représentés dans l’IPC, érodent le pouvoir d’achat, rendant la vie quotidienne bien plus chère que les statistiques ne le suggèrent.🔸 À qui profite l’inflation ?
L’inflation profite surtout à l’État et aux grandes entreprises. Un État endetté voit la valeur réelle de sa dette diminuer : à 5 % d’inflation, une dette de 2 500 milliards d’euros perd 125 milliards par an. Les entreprises, en situation de monopole, augmentent leurs marges en répercutant les hausses de coûts sur les consommateurs. En revanche, les ménages à revenus fixes, comme les retraités, souffrent d’une érosion de leur pouvoir d’achat.🔸 L’impact désastreux des normes écologiques
L’Union européenne et la France se noient dans un délire écologique avec des normes absurdes qui paralysent l’industrie. Les restrictions sur les émissions, les obligations de transition énergétique et les taxes carbone écrasent les entreprises, augmentant les coûts de production de manière insoutenable. Les usines ferment, incapables de rivaliser avec des puissances comme la Chine, qui ignore ces règles et déploie des taxis volants autonomes, pendant que l’Europe s’enlise dans une bureaucratie verte déconnectée de la réalité économique mondiale.🔸 Les sanctions énergétiques et restrictions vers un suicide économique
Les sanctions contre la Russie ont été un désastre : en coupant l’accès au gaz russe, l’Europe s’est tiré une balle dans le pied. L’Allemagne, dans une absurdité sans nom, a même rouvert ses usines à charbon, polluantes et inefficaces, pour compenser la pénurie énergétique. Ça montre bien à quel point ils se fichent de leur fameuse empreinte carbone. Les restrictions sur la production, notamment nucléaire en France, ont fait exploser les prix de l’électricité, asphyxiant ménages et industries, tandis que la Russie prospère économiquement, se tournant vers l’Asie et se moquant des sanctions européennes.🔸 La montée des puissances mondiales face à un déclin européen
Les États-Unis, sous la politique de Trump, se réindustrialisent à une vitesse folle, rapatriant leurs usines et redevenant une superpuissance économique. La Chine, avec ses avancées technologiques, domine l’innovation mondiale, tandis que l’Europe stagne, incapable de rivaliser. Les déséquilibres budgétaires, l’inflation persistante et une productivité en chute libre condamnent la France et l’UE à un déclin inéluctable, reléguées au rang de spectatrices face à ces géants qui redessinent l’économie mondiale.