🇺🇸 États-Unis : Les démocrates crient au scandale sur le redécoupage républicain, mais leurs États bloquent tout siège républicain malgré des pourcentages élevés ! Massachusetts, Connecticut, Maine : 0 siège pour 32-46 % de républicains ! Californie, Illinois, New York : des miettes pour 38-46 % de votes ! Qui manipule vraiment la carte électorale ?

Décryptage des Infos
🔸LES CHIFFRES INCROYABLES !
Les données sur la représentation républicaine dans plusieurs États américains révèlent des écarts frappants. Voici un détail précis des chiffres fournis :
Massachusetts : 36 % de républicains, 0 siège sur 9. Aucun représentant républicain malgré plus d’un tiers des électeurs.
Connecticut : 42 % de républicains, 0 siège sur 5. Une forte base électorale totalement exclue.
Maine : 46 % de républicains, 0 siège sur 2. Près de la moitié des électeurs sans voix au Congrès.
Nouveau-Mexique : 46 % de républicains, 0 siège sur 3. Une représentation nulle pour une base électorale significative.
New Hampshire : 48 % de républicains, 0 siège sur 2. Une quasi-parité électorale, mais aucune représentation.
Rhode Island : 42 % de républicains, 0 siège sur 2. Un blocage total de la représentation.
Vermont : 32 % de républicains, 0 siège sur 1. Un tiers des électeurs ignoré.
Hawaï : 38 % de républicains, 0 siège sur 2. Aucune représentation malgré une base non négligeable.
Delaware : 42 % de républicains, 0 siège sur 1. Une forte minorité sans voix.
Californie : 38 % de républicains, 9 sièges sur 52 (20,9 %). Une sous-représentation marquée par rapport au poids électoral.
Illinois : 44 % de républicains, 3 sièges sur 17 (17,6 %). Une disproportion criante.
New York : 43 % de républicains, 7 sièges sur 26 (26,9 %). Une représentation bien en deçà du vote populaire.
Maryland : 34 % de républicains, 1 siège sur 8 (12,5 %). Une marginalisation évidente.
New Jersey : 46 % de républicains, 3 sièges sur 12 (25 %). Une sous-représentation significative.
Oregon : 41 % de républicains, 1 siège sur 6 (16,7 %). Une voix congrèsionale minimale.
Ces chiffres montrent une tendance claire : dans de nombreux États démocrates, les républicains, malgré des pourcentages électoraux élevés, sont systématiquement sous-représentés ou exclus.
🔸UN TOTALITARISME DÉMOCRATE ?
Les écarts entre le pourcentage de républicains et leur représentation au Congrès dans ces États soulignent une manipulation électorale troublante. Dans des États comme le Maine ou le Nouveau-Mexique, où près de la moitié des électeurs soutiennent les républicains, l’absence totale de sièges est inexplicable sans redécoupage stratégique. Même dans des États plus équilibrés comme la Californie (38 % pour 20,9 % des sièges) ou l’Illinois (44 % pour 17,6 %), la distorsion est flagrante. Ce n’est pas une simple anomalie : c’est un système qui étouffe la voix d’une large part de la population. Les démocrates, prompts à dénoncer le « gerrymandering » républicain, pratiquent une tactique similaire, mais avec une hypocrisie qui frise l’autoritarisme. En privant des millions d’électeurs d’une représentation équitable, ils trahissent les principes mêmes de la démocratie qu’ils prétendent défendre.
🔸UN PARTI DÉMOCRATE GANGRÉNÉ ?
Le Parti démocrate, autrefois champion des droits civiques et de l’équité, semble s’être transformé en une machine au service d’intérêts obscurs. Loin de promouvoir une démocratie vibrante, il orchestre un redécoupage électoral qui musèle des millions d’électeurs républicains, consolidant un pouvoir quasi monarchique dans certains États. Cette stratégie, qui favorise des districts taillés sur mesure, sent la corruption d’un establishment qui se cramponne au contrôle narratif. Aligné sur les agendas du Deep State, le parti manipule les cartes électorales pour étouffer l’opposition, trahissant ses racines pour un système où le pouvoir prime sur le peuple. Cette dérive n’est plus démocratique : c’est une oligarchie déguisée en défenseur de la liberté.