🇫🇷 France – 🇪🇺 Union européenne : L’euthanasie en France, un outil totalitaire de plus ? Une demande orale suffit pour une injection létale à domicile, sans garde-fous ni clause de conscience. Tandis que l’UE sombre dans une dictature bureaucratique. Un avenir sûr ou une porte ouverte aux pires dérives, entre assassinats légaux et contrôle des citoyens ?

Décryptage des Infos
🔸Résumé des dispositions sur la légalisation de l’euthanasie :
- Délai de confirmation : Un délai de 48 heures est requis pour confirmer une demande d’euthanasie, pouvant être raccourci dans certains cas.
- Sanctions pour dissuasion : Toute tentative de dissuasion par des soignants ou proches peut entraîner une amende de 3000 € et une peine de 2 ans d’emprisonnement.
- Intégration dans le système de santé : L’acte de provoquer la mort est reconnu comme un soin intégré au code de la santé publique.
- Absence de clause de conscience : Les personnes administrant la substance létale ne peuvent invoquer de clause de conscience pour s’y opposer.
- Modalités de la demande : Une demande verbale suffit, sans exigence d’écrit, de signature ou de témoin.
- Consultation médicale : L’avis d’un second médecin peut être obtenu à distance et n’a pas de caractère contraignant.
- Lieu de l’acte : L’injection létale peut être réalisée à domicile, à l’hôpital, en EHPAD ou tout autre lieu, sans restriction.
- Décision individuelle : Le médecin peut décider seul de procéder à l’euthanasie, sans obligation de consultation collégiale ni de contre-pouvoir.
- Contrôle a posteriori : Une commission examine le dossier uniquement après la réalisation de l’acte.
- Absence de recours : Les proches n’ont aucun droit de recours après la décision.
🔸Les Dérives de l’Euthanasie dans un Contexte Totalitaire
En France, un projet de loi sur l’euthanasie, encore en débat, propose des mesures alarmantes : injection létale sur simple demande orale, sans garde-fous ni clause de conscience pour les soignants. Dans un contexte où le pouvoir de Macron est jugé autoritaire, ces dispositions, bien que susceptibles d’évoluer, pourraient devenir un outil de répression, menaçant les citoyens de dérives graves.
🔸L’Union Européenne dans une Spirale Dictatoriale
Ce débat survient alors que l’Union européenne est accusée de glisser vers une dictature bureaucratique, imposant des politiques centralisées qui érodent les libertés. Si la France adopte une telle loi sans contre-pouvoirs, elle pourrait s’inscrire dans une logique européenne de contrôle accru, où la vie des individus deviendrait un levier de pouvoir pour des régimes autoritaires.
🔸Un Avenir Sûr ou une Menace Éthique ?
Loin d’être une avancée, cette loi soulève des questions éthiques majeures. Avec un système de santé en crise, urgences fermées, manque de médecins et une commission de contrôle intervenant après le décès, le risque de dérives est réel. Peut-on parler d’avenir sûr quand l’État décide de la mort sans contre-pouvoir, dans un climat de méfiance politique ?